Les chocolats Auer font fondre les célébrités



Le 14 janvier 2015, la rue de Rive à Genève était bouclée, envahie de gyrophares et d’hommes des services secrets. La chocolaterie Auer avait encore frappé en conquérant un nouveau client célèbre, ni plus ni moins que le secrétaire d’Etat américain John Kerry.



Une adresse incontournable

Chocolat Auer
Depuis son ouverture en 1939 rue de Rive à Genève par Henri Auer, confiseur suisse établi à Toulon, le magasin Auer n’a pas perdu de son prestige. En effet, leurs amandes au chocolat ont conquis plus d’un amoureux du cacao. Au fil des ans la maison Auer a imposé son nom dans la société genevoise et est devenu une référence incontournable du chocolat, surtout auprès de la bonne société, au même nom que les maisons Arn ou Hautlé.


De même, la « cafétéria » est rentrée dans la culture genevoise dès son ouverture dans les années 60. Symétrique à la boutique, elle propose la dégustation sur place de douceurs raffinées ou bien d’un simple mais délicieux chocolat chaud. Le maître des lieux Philippe Auer, cinquième du nom, peut être fier de son commerce.

Des stars aux politiques, tout le monde y court

John Kerry, official Secretary of State portrait
Au terme de sa journée de négociations sur le nucléaire iranien, John Kerry s’est donc offert un petit plaisir. S’engouffrant dans la petite mais fameuse boutique, il mettait toute la rue en émois. Et il n’en est pas à sa première fois ! Déjà en novembre 2013, il avait effectué sa première visite au chocolatier . Philippe Auer ne nous en dira pas plus, on ne saura pas ce qu’il a acheté, mais une chose est sûre : il est client acquis.


Ce n’est d’ailleurs pas le seul. Nicolas Sarkozy durant son mandat avait lui aussi, via un intermédiaire, visité la boutique. Même Arnold Schwarzenegger, de passage pour un film, avait succombé en 2012 aux sucreries made in Auer. Les vendeurs n’ont qu’à bien se tenir car le défilé de VIP n’est pas prêt de s’arrêter !

ChocoClic


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